dimanche 1 août 2021

POUR SE METTRE AU NIVEAU D'UNE COULEUVRE, IL FAUT SAVOIR RAMPER !



Dans ce blog satirique, les personnages sont sortis de l'imaginaire et de stricte invention : toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé et toute homonymie avec des noms propres ou des noms privés ne serait que pure coïncidence.

 




Source : Cartolist fidel Bourrage de crane

 

En ces temps d’enfermement en pointillé, de vie au ralenti avec des sensations amoindries, et d'impossibilité à espérer dans l’avenir, au début de l'été, sollicités par "d'anciens-jeunes"nous nous sommes décidés à braver la morosité pour nous retrouver dans un coin festif du village afin de suivre ensemble les exploits des Bleus dans la Coupe d'Europe. Donc, pas besoin de fanfaronner autour d'un four avec des fouées pour festoyer entre amis.  

Ce soir-là, au bout du compte, les Bleus ont pris une déculottée mais, entre nous, cette "sortie de route"ne va pas faire de mal à leur égo de même qu'elle va épargner aux habitants des grandes agglomérations les soirées avinées après matchs.

Bref, la déception passée, nos jeunes amis ont rapidement oublié la défaite des Bleus pour s'épancher sur une intrigue locale survenue au début des années 2000 alors qu'ils étaient encore ados et s'en excuser. 

Ainsi donc, un soir, à la fraîche, ils étaient à jouer et à rire entre jeunes au bord de la rivière (le lieu de rendez-vous incontournable des jeunes de toutes générations) quand ils ont été approchés par une "couleuvre" locale au venin noir.

La couleuvre a cette particularité de vivre généralement au bord des cours d'eau et de se déplacer furtivement en affectant une posture mielleuse mais, sachant toutefois manier avec une dose subtile la lâcheté et la sournoiserie. Ce soir-là, s'approchant des ados, cette couleuvre avec ses petites écailles dressées sur la tête, se faufilait en douce pour venir faire un lavage de cerveau en règle visant à déconsidérer le Maire en place.

La diabolisation est un processus complexe qui existe dans la vie individuelle comme dans la vie collective. Diaboliser l’adversaire est un procédé courant des propagandes qui veulent dépeindre l’ennemi de façon monstrueuse pour mieux le disqualifier. C'est un comportement courant pour les "encartés" de tous bords qui veulent en découdre à n'importe quel prix pour obtenir la "place" alors qu'ils n'en ont pas les compétences. On  l'a vu à l'œuvre, la couleuvre !!

La couleuvre en question étant une habituée de l'endoctrinement politique et avec de savants bourrages de crâne, elle "remonta" les jeunes contre l’édile au sujet d'une "maison jaune" qui aurait pu servir de "Maison de jeunes" ce dont le Maire refusait. Le Maire refusait pour la simple et unique raison, c’est que ce chalet était en bois et ne présentait aucune sécurité. Ce que la couleuvre faisait semblant d'ignorer : dans une soirée entre jeunes et par inadvertance, le local pouvant brûler rapidement et le Maire était le seul responsable.

Par contre, quand cet esbroufeur est devenu Maire par la suite, il n'a aucunement institué de conseil de jeunes comme il voulait l'imposer auprès des ados quand il était dans l'opposition, ni de création de Maison de Jeunes. Exit, la "maison jaune" !

Moralité pour ce triste personnage : "Faites ce que je dis et ne faites pas ce que je fais". À l'observation de sa fonction calamiteuse, les jeunes ont vu clair dans son jeu, c'est une bonne chose.

"La liberté est une peau de chagrin qui rétrécit au lavage de cerveau."  Henri Jeanson

 

 


 Source : serpent drôle

dimanche 21 février 2021

TOUT EST DANS LE PARAÎTRE MAIS RIEN DANS LE CIGARE !

Dans ce blog satirique, les personnages sont sortis de l'imaginaire et de stricte invention : toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé et toute homonymie avec des noms propres ou des noms privés ne serait que pure coïncidence.

 


Avec l'année 2020, une année dont on se souviendra longtemps, l'année du Covid, l'année des masques et nous, au village, on a tourné une page, celle de la dictature des écolos. Ils n'auront pas marqué l'histoire de la commune, mais l'année précédente, les riverains de la "voie douce" se souviendront qu'en 2018, un abîme d'imbécillité s'est ouvert sous leurs pieds.

Sans consulter la population, "ils" ont décidé de faire une voie piétonne sur une route où il était déjà difficile de s'y croiser, car toujours en courbe. En plus, cette voie piétonne ne débouche sur aucune autre. Donc, Super, on emprunte une voie piétonne pendant 1 km 5, et après, Basta !

Mais, bon, on a déjà évoqué l'absurdité du projet dans un article précédent.

Nous savions déjà que nos écolos locaux étaient l'extrême gauche haineuse grossièrement badigeonnée de vert, mais, au fil du temps, depuis leur installation à la tête de la commune, la peinture s'était écaillée. Ils avaient même oublié, depuis 2018, de remettre l'inventaire des ouvrages d'eau pluviale à la CdC. Tout est dans le paraître, mais rien dans le cigare ...

Dans les années 90, le Maire de l'époque avait fait instaurer sur deux routes de la commune, la numérotation métrique des habitations, les numéros de chaque propriété correspondant à la distance (en mètres) entre le début de la route, appelé "point zéro" et le début de la parcelle. Ainsi, notre maison se trouve au numéro 1967 de la route donc à 1967 mètres du point zéro situé au début de la voie. Cette numérotation tient compte également des côtés pairs et impairs.

Or, concernant le Maire qui lui a succédé en 2008, il semblerait que ce Monsieur n'ait rien compris à ce système de numérotation métrique. Il a fait ajouter des BIS à certaines numérotations et des numéros pairs du côté des numéros impairs et vice et versa !  

Depuis quelques années, nous assistons à l'agonie de la gauche républicaine : la rose est fanée depuis belle lurette. Pour ces deux élections Régionales et Départementales, quand deux électeurs sur trois ne votent pas, ce n’est pas le fruit du  hasard. L’abstention ne traduit pas un désintérêt, mais une colère. Elle est devenue le vote sanction de ceux qui ne se sentent pas représentés et ne supportent pas le jeu trouble des accords de coulisses et notamment, dans certaines Régions, des dangereuses alliances de Présidents sortants autour de l'extrême gauche.  

C'est le vote sanction de ceux qui ne veulent pas voir leur pays sombrer dans le totalitarisme rouge et vert !        

Et j'ajouterai que la compétence, le discernement, la stature d'un Maire sont des qualités qui ne sont pas à la portée de n'importe quel citoyen encarté.  







 Source : Pic clic

vendredi 29 janvier 2021

STOP AUX ÉLUCUBRATIONS DES ÉCOLOS DE SERVICE CONCERNANT UN RETOUR A UN CHAUFFAGE ANCESTRAL A L'ÉCOLE !

 

 

Dans ce blog satirique, les personnages sont sortis de l'imaginaire et de stricte invention : toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existé et toute homonymie avec des noms propres ou des noms privés ne serait que pure coïncidence.

 

 

 


 

 Image empruntée à Edeme - guides pédagogiques

 

 

Récemment, on a vu ressurgir dans la presse locale, cette nouvelle étude de faisabilité au sujet du changement de chauffage à l'école à savoir : remplacement du chauffage rayonnant - et innovant pour l'époque de son installation (1992) - par un chauffage à bois.

Encore une étude, une de plus. Être chef d'un cabinet d'études de nos jours ce doit être gratifiant, car c'est devenu la règle, une étude à chaque projet envisagé dans une collectivité. Bref, allons-y, c'est le contribuable qui paie ...

Il faut se rappeler que le Maire précédent (2008/20) voulait se débarrasser de ce chauffage à tout prix comme d'une épine dans le pied. On a du mal à comprendre s'agissant d'un écolo, mais bon, toutes les contradictions sont dans la nature. Cependant, tout le monde l'aura compris, il voulait avant tout se débarrasser de tout ce que son prédécesseur avait fait avant lui. En 2018, dans le journal communal, ce Monsieur contestait le chauffage rayonnant au seul prétexte que la gestion était "obsolète" car à l'époque où la gestion a été installée - donc en 1992 - elle se faisait par minitel. Mais, par la suite, il était possible de programmer le chauffage à partir de l'ordinateur familial. C'est d'ailleurs ce qui s'était pratiqué. 

Mais le fameux minitel en fait n'était qu'un bouc émissaire, car notre écolo local avec son appétit des places et des honneurs, vitupérait avec force, dès le début de la construction du groupe scolaire contre le moyen de chauffage employé : plafond radiant électrique. Ce grand Penseur de l'Humanité brandissait le spectre du recours au Nucléaire. Il faut dire que ces militants écologistes sont fort pour vilipender le Nucléaire, ils préfèrent sans doute les centrales à charbon allemandes. Il faudra pourtant bien qu'ils l'admettent un jour que de toutes les sources d’énergie un tant soit peu adaptées à notre consommation, l’énergie nucléaire est de très loin celle qui a le moins d’impact sur le climat.

Récemment, ce Monsieur a dû prendre connaissance de la une du O.F. du 25 février 2021 qui annonçait la décision de l'Autorité de Sûreté nucléaire de prolonger 32 réacteurs français au-delà de 40 ans. En évidence, le journal titrait : "Nucléaire ou renouvelables, un jour, il faudra choisir". That is the question ! 

Être contre le nucléaire est une chose, mais répondre au défi  que représente à l'avenir la profonde mutation des véhicules essence en véhicules tout électrique (un exemple parmi d'autres), c'est autre chose que de proférer des menaces et imposer ses courtes vues. Produire par des énergies renouvelables telles que les panneaux solaires ou les éoliennes terrestres ou marines, c'est possible, mais que faire quand il n'y a ni vent ni soleil ou trop de vent et ... trop de soleil comme pendant les périodes de canicule ?   

Faisons court et revenons à ce chauffage scolaire : cet argument ridicule de minitel a d'ailleurs exacerbé l'artisan local qui a installé le chauffage préconisé par EDF (il dit qu'ils ne savent pas s'en servir tout simplement). Sans doute qu'une remise à niveau du personnel traitant de la gestion du chauffage par ordinateur serait judicieuse : Formation à la domotique (y compris pour les Maires pendant leurs mandats ...). Même la commune voisine a copié sur nous pour la gestion du chauffage de son gymnase.

La gestion informatique du chauffage de l'école a été élaborée par la Société DELTA DORE - fabricant en gestion de l'énergie - basée en Bretagne et nous avions découvert le 5 juillet 2019 - après la polémique du Maire - à la page 4 du O.F. que l'Entreprise avait lancé un plan d'actionnariat salarié.

Ouest-France précisait que cette Entreprise employait 750 salariés. En tout état de cause, si DELTA-DORE, depuis les années 90, n'installait que des systèmes de gestion "obsolètes" pour reprendre la feuille de chou du Maire, il y a belle lurette qu'elle aurait déposé le bilan et en 2019, elle n'aurait pas lancé un plan d'actionnariat salarié. C'est donc la preuve de son développement et de son efficacité.   

De plus, lors de la construction du groupe scolaire, le Maire de l'époque, souhaitant un chauffage bien adapté aux besoins des enfants, avait constitué un groupe de travail avec les parents d'élèves, les enseignants, les membres du Conseil Municipal et l'architecte de l'école ; ce groupe de travail a abouti à des solutions plus que performantes en matière de chauffage en installant un plafond rayonnant sur l'ensemble du bâtiment, système invisible qui libère l'espace et assure une sécurité totale dans la mesure où les enfants n'ont aucun contact avec les éléments chauffants. Par ces temps de grande pandémie où un virus virulent circule, ce chauffage rayonnant évite le brassage d'air et donc les particules sales et les microbes.

Enfin, notre écolo local devenu Maire par la suite se flattait d'avoir un champ solaire à proximité pour alimenter les besoins en électricité de la commune (?).

Tout ceci est remis en cause par l'écolo dictature. Mais à défaut du bon sens n'est-ce-pas la tartufferie qui est la chose au monde la plus répandue ?. 

Récapitulons cet éventuel projet : il faut changer tout le système ce qui veut dire remettre en place les radiateurs, les canalisations ; le coût final dans tout cela ?

450 000 € soi-disant  au départ (et ... à l'arrivée ?) Presque aussi cher que l'agrandissement de l'école...  Pour quelle économie ? 30 000 € par an et un investissement de 450 000 €, soit le premier euro de rentabilité des investissements dans 15 ans quand la chaudière sera à remplacer. Avant de tout casser, des réflexions s'imposent. Pourquoi ne pas moderniser tout simplement le chauffage actuel par des films rayonnants ou dalles de plafond plus performantes aujourd'hui qu'il y a 30 ans et donc plus économiques.

À mon humble avis, il serait plus urgent de changer le chauffage de la salle des fêtes, plus ancien et très coûteux et surtout très bruyant ce qui est très désagréable quand il s'agit de représentations musicales, théâtrales, réunions d'élus ou autres. Je me souviens qu'en ces moments-là (même en cours de chorale, etc…) avoir recours à l'arrêt du chauffage tant il était bruyant. Mais, la décision ne m'appartient pas.  

Les études montrent que le chauffage au bois n'est pas si écologique qu'on le dit. Cette énergie émet certains polluants atmosphériques et parmi lesquels : le monoxyde de carbone (CO), les oxydes d’azote (NOx), les composés organiques volatils (COV) ou les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP).

A ce sujet, le journal OUEST-FRANCE du 29 janvier 2021 fait une analyse intéressante sur l'avenir de la France sans CO2 (précision, d'après le média, en 2050, c'est possible) mais il conclut finalement : "On l'aura compris, l'électricité devient reine. Quel que soit le scénario retenu, le maintien d'une part de nucléaire est envisagé, mais elle ne doit plus satisfaire un quart, mais la moitié du besoin énergétique français" N'en déplaise à nos écolos de base ! Et il continue : "Les kilowatts sont donc appelés à se transformer en hydrogène, pouvant lui-même devenir du gaz ou de l'essence de synthèse".   

Suite à cet engouement subi et incongru des élites communaux pour le chauffage à bois, il m'est revenu une image en mémoire : dans ma petite enfance, quand j'allais en classe "enfantine" (on ne disait pas encore classe "maternelle"), chaque enfant devait apporter une ou deux bûches à l'école pour le poêle en hiver et à tour de rôle bien évidemment ; cela permettait à chaque famille de contribuer au chauffage de la classe mais, un beau jour, un petit malin avait dû glisser autre chose qu'une bûche dans ce poêle et ce fut un "sauve qui peut" général car le poêle a failli exploser et la classe avec mais, c'est ainsi que l'on garde des souvenirs d'école... 

Blague à part, on devrait suggérer cette possibilité à ces écolos décroissants comme la lune qui veulent revenir à un chauffage à bois à l'école !  

 

 


   Image empruntée à Pinterest.

QUEL NOM POUR MON ÉCOLE ?

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